Bonjour à tous, Le printemps est souvent un casse-tête pour les propriétaires de chiens de chats et de chevaux car non seulement la douceur des températures favorisent la multiplication des parasites en tous genres (tiques et puces en premier lieu) mais c’est aussi l’époque des allergies ! les chiens manifestent leur allergie par des démangeaisons, une peau rouge voire un chute importante des poils ; ils peuvent aussi montrer des signes d’otites (oreilles rouges, douloureuses et sécrétantes), de conjonctivite (œil rouge et gonflé) voire de rhinite (éternuements et nez qui coule). Le chat est aussi sensible aux allergies qui se manifestent le plus souvent par des problèmes de peau : perte de poils, démangeaisons et petites croûtes, mais aussi parfois par une rhinite entraînant des éternuements. Le cheval quant à lui va réagir aux allergènes de son environnement par de boutons qui peuvent envahir son épiderme, un œdème des membres (« poteaux ») et des conjonctivites violentes, l’obligeant à garder les yeux fermés. Les allergènes responsables de ces manifestations sont le plus souvent des végétaux (pollens de certains arbres comme le cyprès puis pollen des graminées notamment) mais aussi les acariens des poussières (qui vivent dans les maisons, les moquettes et les matelas) et les parasites eux-mêmes comme la salive de puce qui est très allergisante. Face à ces états deux solutions : éviter l’exposition à l’allergène quand c’est possible ou traitement ; là encore deux types de traitements sont possibles pour les animaux : la désensibilisation et le contrôle médical de l’allergie ; dans un premier temps,il vaut mieux privilégier ce traitement mais c’est le vétérinaire qui vous aidera à choisir la meilleure solution. Sur animalform, vous trouverez des produits naturels pour vous aider à soulager votre animal.

Bonjour à tous, Après avoir évoqué les manifestations de l’allergie, voyons maintenant les allergies alimentaires et les allergies de contact. Disons le tout de suite, les allergies alimentaires sont surestimées. En fait le diagnostic est délicat car l’allergie alimentaire se manifeste par des symptômes habituels pour une allergie : démangeaisons, chute des poils, rougeurs, otites,...ensuite pour prouver l’allergie alimentaire, il faut réaliser un régime dit d’exclusion avec lequel on nourrit l’animal pendant 6 à 8 semaines. Ce régime ne doit contenir que des aliments n’ayant jamais été consommés par l’animal ; si les symptômes de l’allergie disparaissent, le diagnostic est fait ; on peut l’améliorer en réintroduisant un à un les aliments que l’animal consommait avant et attendre l’apparition des symptômes. Une fois que le diagnostic est établi il faut nourrir votre animal avec une ration adaptée ; heureusement il existe des aliments industriels qui permettent de vous faciliter la vie : ils contiennent zéro allergènes et garantissent l’absence de rechute. Vous pouvez les trouver au meilleur prix sur animalform. Les allergies de contact sont des réactions de la peau suite à u contact avec un produit allergisant : certains colliers antiparasitaires peuvent entraîner ce type de manifestations (urticaire, rougeur, démangeaisons) mais le plus souvent il s’agit de sable ou de ciment auquel l’animal est sensible et sur lequel il est resté couché trop longtemps ;

Que faire lorsque l’on recueille un animal sauvage ? dans la plupart des cas, il s’agit d’un oiseau et l’objectif est de le relâcher dans la nature. Il faut tout d’abord éviter de créer des lésions en le manipulant et en essayant de le contenir. La contention doit se faire avec des gants, au moyen d’une serviette de grande taille. La tête de l’animal doit rester masquée. Si l’animal sauvage est bien maintenu, il n’essaiera pas de s’échapper en se débattant. Le bec et les griffes sont les parties les plus dangereuses de l’animal, notamment chez les rapaces. Si l’animal présente des lésions graves : fractures, larges plaies, il vous faut le conduire chez un vétérinaire qui se mettra en rapport avec des associations comme la LPO qui prennent en charge les oiseaux blessés. Si l’animal est simplement jeune ou épuisé, vous devrez le nourrir, le réhydrater et le réchauffer jusqu’à ce qu’il puisse s’envoler. ¨Pendant le temps où vous conserverez l’animal en cage, évitez le stress au maximum, c’est la première cause de décès lors de sauvetage des animaux sauvages !

Vous le savez tous, un foyer d’Anémie Infectieuse Equine a été découvert dans le sud. Un test s’est révélé positif dans une clinique des alpes maritimes (06) et a permis de remonter la piste jusqu’à un centre équestre du Var. Les symptômes de l’AIE sont variables et comptent généralement : anémie, amaigrissement, fièvre et oedèmes. Le diagnostic de certitude est réalisé par le vétérinaire qui prélève du sang de l’animal suspect et demande un test spécifique à un laboratoire agréé. En effet, l’AIE est une maladie légalement réputée contagieuse, ce qui signifie qu’elle est à déclaration obligatoire ; L'anémie infectieuse est sur la liste des maladies réputées contagieuses et inscrite au code rural comme vice rédhibitoire sous sa seule forme sérologique, avec ou sans symptômes. La réglementation en vigueur (décret et arrêtés du 23 septembre 1992) prévoit la prise d'arrêté d'infection sur le seul résultat du test de Coggins, le marquage et l'abattage des équidés atteints. Le test de Coggins est obligatoire pour l'exportation vers les Etats-Unis et vers d'autres pays. Les Laboratoires agréés pour la sérologie anémie infectieuse sont les laboratoires vétérinaires départementaux et les Laboratoires de référence : AFSSA Alfort et ENVA. La transmission s’effectue par échange de sang infecté : arthropodes hématophages par transmission mécanique (taons,...), aiguilles, matériel chirurgical mal stérilisé,...

La transmission est conditionnée par le titre viral dans le sang du cheval porteur,

la densité de la population d’insectes, la biologie de l’insecte (diamètre de l’aire de transmission :200 m environ pour un taon). La jument infectée peut également transmettre le virus à son poulain in utero ou après la naissance, par les cellules blanches présentes dans le lait. Depuis 3-4ans , 1 à 2 foyers/an sont dépistés en France. Il y a quelques années, le même foyer s’était révélé positif après investigation.

Bonjour à tous, Aujourd’hui je voudrais vous aider à préparer vos futures vacances d’été en vous présentant un livre indispensable à vos déplacements avec votre animal : il s’agit de : je voyage avec mon chien : le guide des hôtels et des maisons de charme, aux éditions Patoche et Orsa, préfacé par B Bardot. Un guide superbe, bien fait où sont répertoriées et classées près de 1000 adresses vous permettant de choisir un établissement en fonction de sa classification géographique, de son prix et de ses prestations. Les hôtels y sont classés par région en fonction de leur nature. Pour chacun, vous y trouverez des photos, la catégorie (les étoiles), les prix, les dates d’ouverture et de fermeture, et bien sûr le supplément pour le chien : la nourriture servie, les contraintes de circulation ; laisse ou liberté. On trouve également dans ce livre des conseils vétérinaires pour le voyage et le séjour de votre animal. Une mise en garde contre les accidents et les maladies pouvant survenir ainsi que les précautions à prendre,les mesures préventives et les solutions les plus efficaces. Je voyage avec mon chien est donc le guide indispensable pour tous les propriétaires d’animaux de compagnie qui ont décidé d’amener leur compagnon en vacance avec eux car il n’y pas de raison que les vacances ne soient que pour les maîtres. Tout çà pour 20 € tout rond.